Quatre mots sur un piano, ceux que tu as laissés
Quatre c'est autant de trop, je sais compter
Quatre vents sur un passé, mes rêves envolés
Mais qu'aurait donc cet autre que je n'ai ?
Ne le saurai-je jamais
Cas très banal, cliché, dénouement funeste
Trois moins deux qui s'en vont, ça fait moi qui reste
Caresses, égards et baisers, je n'ai pas su faire
Te partager me soufflait Lucifer
Depuis je rêve d'enfer
Moi j'aurais tout fait pour toi, pour un simple mot
Que te donne l'autre que je n'offrirais ?
tu étais mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
Etais-tu trop beau ou suis-je trop sotte ?
N'aime-t-on jamais assez ?
Trois mois beaux à pleurer, maigre résumé
Cartes jouées mais le roi s'est caché
Quatre millions de silences, de regrets qui dansent
Les questions, les soupirs et les sentences
Je préférais tes absences
Moi j'aurais tant fait pour toi, pour boire à ton eau
Que te donne l'autre que je n'offrirais ?
Tu étais mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
Mais étais-tu trop beau, ou bien nous trop sottes ?
N'aime-t-on jamais assez
Tu étais ma vie comme la nuit et le jour
Tu nouais, filais mon parfait amour
Un matin tu t'es condamné à choisir
Je ne te voulais qu'à moi
Tu me laisses, adieu
Tu as choisis, tu nous trahis
Mais qu'aurait donc cet autre que je n'ai ?
Ne le saurai-je jamais ?
Te partager me soufflait Lucifer
Depuis je rêve d'enfer